Ceci est une histoire pour imaginer le temps a la sortie de confinement. Cet histoire inclus le sexe interracial et non protégé. Si vous trouvez cela offensant, ne continuer pas a lire.
Nous sommes le premier weekend après le déconfinement complète. Ma femme et moi, nous ne sont pas sortie depuis plusieurs mois, pas de restau, pas de cinéma, et naturellement, pas de sortie coquine pour madame. Pour fêter notre liberté retrouvée, nous avons décidé de passer un weekend sur Liège, sans enfants, mais pas forcement sans amant.
Arrivé sur place vers 18h00, nous avons réservé un AirBnB au centre-ville et garons la voiture Saint Denis. Arrivé sur place, on trouve un superbe duplex, avec deux chambres, un salon moderne et une cuisine super équipé, mais qui risque de ne pas être trop utilisé pour ce soir. Madame s’enferme dans la salle de bain et sort après une demi-heure (nouveau record de vitesse) refreshi et en tenue de sortie. Elle m’embrasse et me dit qu’elle a invité une connaissance, un ami Sénégalais avec lequel elle a eu déjà plusieurs aventures et qui doit arriver vers 19h00, un moment à l’autre.
Vers 19h30, son ami arrive. La ponctualité ne semble pas être son point fort, bref, ça n’empêche pas ma femme de se jeter dans ses bras. Début dans le hall d’entrée, ils s’embrasent longuement, leurs langues se mélangent et leur main se baladent.
Je suis assis sur le canapé et Marc vient me serrer la main. Une grosse main bien noire, que sert bien fort. Puis il se tourne vers ma femme.
« J’ai deux places de cinéma. On y va ? »
Ma femme me jette un regarde rapide mais prend son gilet sans attendre la réponse. Je reste seul dans l’appart. Vers 21h00, je vais prendre quelques choses à manger dans le Carrefour market du coin pour revient pour me chauffer un petit plat.
Vingt-deux heures, pas de nouvelles de ma femme, je décide de m’allonger dans la chambre puis je m’endors, la porte de la chambre ouverte. Autour de minuit, j’attend la porte de l’appart et les deux qui arrive, visiblement bien joyeux. Je reste couché, les lumières éteintes et ma femme et son compagnon du soir entrent dans la deuxième chambre. Quelques allers-retours à la salle de bain pendant un quart heure puis le silence tombe à côté, la porte fermée.
Je continuer à écouter depuis mon lit, la porte ouverte, et ne tarde pas à entendre des légers soupirs de ma femme. Je bande comme un an a l’idée de ce que se passe dans la chambre à côté. Je me déshabite et me caresse avec des va-et-vient de plus en plus vite. Quand les gémissements deviennent des cris, et le craquement rythmé de leur lit ne peux plus être ignoré, j’explose et déverse mon sperme sur le drap. Ma ferme est certainement en train d’être pris en missionnaire avec un gros sexe noir a l’intérieur d’elle. Je continue a écouter puis une fois leur orgasme atteint mutuellement, le silence s’installe. Il ne doit pas être loin de 2 heures du mat ce dimanche matin.
Je me rendors.
Des nouveaux cris quelques heures plus tard me réveillent à nouveau. Il faut toujours nuit et j’imagine que ma femme essaye d’être discret mais il n’y a aucun doute. Une nouvelle partie de sexe est en cours à côté. Une nouvelle décharge sur mon ventre, un nettoyage rapide puis je me réveille le matin sous les rayons de soleil qui pénètre dans la chambre. Je n’entends rien d’à coté alors je sors port me rendre aux toilettes.
Leur porte est ouverte.
Ma femme est allongée sur le lit, endormis et nu. Ses vêtements du soir sont étalés partout dans la chambre. Pas de signe de son amant, qui semble partie pendant que je dormais.
Je rentre en silence pour regarder ma femme dormir. Par terre, une capote déchirée, à côté de son emballage en plusieurs morceaux. Sur les draps des taches séchés, certainement un mélange de ma femme et du sperme de son ami. Arrivé plus proche, la semence continue à se découler de la chate de me femme, toujours bien ouverte.
Je m’habite et retourne au magasin pour préparer un petit déjeuner a deux. Vive le déconfinement.