par laetizia » Lun 6 Mai 2024 22:48
Partie 10
Je passe une main dans mes cheveux tout en reprenant mon souffle observant deux nouvelles trainées de sperme glisser le long du trou. Puis, brusquement, je vois deux doigts parfaitement manucurés en sortir.
- A quoi joues-tu ma chérie, me dis-je, avant de m’accroupir doucement un petit sourire aux lèvres, Je saisis délicatement les deux doigts et les embrasse gentiment enroulant ma langue autours de l’index. Les doigts manucurés se tortilles doucement sous la caresse, puis ils disparaissent rapidement… Je n’ai pas le temps d’émettre un « oh » de surprise qu’un gland turgescent, gonflé et luisant sort du trou.
J’ouvre de grands yeux étonnés prise d’un sentiment étrange entre le rire et l’envie de fuir cette chambre.
Je me reprends, et souris intérieurement à l’idée que contrairement à ce que j’avais pensé, Claude n’avait pas éjaculé en Maria… Elle a joui, mais lui a gardé son sperme pour autre chose… Et ils se sont concertés, ce qui explique les murmures, ils ont du décider que Claude se ferait sucer devant Maria… Cette idée l’excitait mais il anticipait sa réaction, mais visiblement la coquine ne s’est pas laissée ébranlée et à décider de lui faire réaliser son fantasme jusqu’au bout… A moins qu’elle n’ai réalisé que si elle faisait du gloryhole en vrai avec lui, elle devrait accepter l’idée qu’il se fasse pomper par une autre bouche inconnue…
Le sexe est dressé devant moi, à quelque centimètres de ma bouche et je dois prendre une décision, bien sur la tournure n’est pas celle que j’imaginais, je ne pensais pas qu’elle attendrait à ce que je suce son mari dans ces conditions… Ne pas le sucer frustrerais Maria et après ce qu’elle vient de m’offrir, je ne serais pas du tout honnête…
- Tu n’as pas le choix, petite salope, me dit une voix dans ma tête… Je souris intérieurement en pensant qu’après tout j’ai mes talons fétiche et que je peux tout faire en les ayant aux pieds… Je ne décevrais pas Maria…
Je suis un peu hésitante, mais doucement, je prends le sexe en main, il est très doux et encore humide de la cyprine de Maria. Je le masturbe doucement, le libère complètement et approche mes lèvres, je dépose un baiser sur le gland avant d’enrouler ma langue autours. Ca me fait très bizarre d’être accroupie dans cette chambre qui n’est pas la mienne, face à une cloison dont sort un sexe…
Mes lèvres enveloppent le gland et je sens un frémissement, un gémissement étouffé de l’autre côté puis je commence à sucer lentement mais très langoureusement.
J’enserre le gland de mes doigts aux longs faux ongles et je titille de la langue le triangle sous la couronne, un endroit que je sais sensible.
Mes mains maintiennent fermement la hampe tandisque je pose la langue sous le gland l’aspirant doucement, prenant soin de presser les lèvres devant les dents afin d’éviter tout contact avec les dents…
Il glisse comme un gant entre la lèvre supérieure et la lèvre inférieure suivant son chemin le long de la langue offerte. Je commence un lent aller retour en pressant les lèvres sur le gland sans cesser de masturber la hampe du sexe…
Les gémissements de l’autre côté s’intensifient, entrecoupés par des bruits de baisers. Et je sens un mouvement de rein s’amorcer pour pénétrer ma bouche plus profondément… Je réalise que ma bouche, comme celle de Maria est devenue à son tour un vagin… Ca me fait une étrange sensation. Je continue à sucer avec plus de vigueur cette fois et je sens le sexe prendre de plus en plus de place entre mes lèvres, explorer ma bouche, faire comme chez lui…
Je suis tirée de mon exercice par un bruit de semelles de bois qui vient dans la direction de la chambre.
Ca me trouble et j’ai une petite hésitation, comme surprise lors d’une mauvaise action… Maria passe la tête et me sourit… Je me calme tout de suite en songeant... « idiote, elle savait qu’elle allait te trouver là en train de sucer, c’est sans doute pour te voir qu’elle est venue…
Elle s’approche de moi, elle est superbe, son menton est encore plus luisant de sperme et tout sont haut est taché, même le téton du second sein transparait à travers le chemisier tâché. Son shorty est couvert par endroit de taches qui lui donnent une couleur plus sombre et je remarque quelques trainées de spermes en grosse gouttes sur ses orteils et la croute de cuir de ses mules… Elle a dû s’accroupir à nouveau et se prendre toutes les jets de sperme dans la bouche ! Elle me sourit franchement et je comprends que mon éjaculation a dû être aussi surprenante pour elle que pour moi.
Elle me caresse les cheveux et s’accrouppi près de moi, je libère le sexe de ma bouche.
- Oh ma pauvre chérie, dis-je
- shhhh me dit elle, elle approche ses lèvres et m’embrasse à pleine bouche, ses lèvres, sa langue ont encore le goût de deux spermes mélangés. Tu suces très bien aussi, à ce que je vois, je t’en prie continue…
- Merci, mais si tu veux te joindre à moi, tu es la bienvenue.
Elle pose un doigt sur mes lèvres et sourit..
- Non, c’est gentil, mais je tiens à ce que ce soit toi, je vais l’aguicher, pour qu’il jouisse encore plus fort dans ta bouche.
- Tu es trop mignonne toi, dis-je en souriant. Elle m’embrasse à nouveau et se dirige vers son dressing pour enfiler une paire de magnifiques escarpins noirs plateforme avec de hauts talons… Elle repart d’un pas assuré me faisant un petit signe, je lui souris et reprend le sexe en bouche… plus fermement et plus activement cette fois. J’entends les talons s’éloigner tandisque je sens l’humidité du gland et de la hampe se mêler à ma salive, je m’applique du mieux que je peux branlant lentement et fermement d’une main et aspirant le gland sur ma langue, le sexe est tendu humidifiant de plus en plus ma bouche. Je dégage le gland et laisse couler la salive et le présperme sur la hampe, bientôt j’entends plus distinctement les talons de Maria, quelques murmures, petits rires étouffés, bruit de baisers fourrés qui se donne juste derrière la cloison entrecoupé de gémissement. Devant moi le sexe déjà tendu durcit encore plus fort à vue d’oeil, je souris et le reprend en main, puis presse mes lèvres et ma langue sur le gland. Je reprends le mouvement, sans trop me fatiguer, mes chevilles tirent un peu mais globalement, c’est parfaitement supportable, je sais que comme il a déjà éjaculé il mettra du temps et puis c’est ma bouche qui le suce pas celle de Maria, ça peut-être excitant comme bloquant…
La séance de baisers s’est interrompue et discrètement j’entrevois les lèvres et la langue de Maria à travers le trou, je comprends qu’elle lèche la base du gland et des testicules de son côté ! L’effet se fait ressentir très vite dans ma bouche, je m’applique avec soin, pressant et suçant langoureusement. Le sexe est très tendu mais pas encore en fibrillation, je le sors et d’une main presse le gland contre ma langue, que je tire jusqu’au dessus des lèvre pour laisser couler le pré-sperme sur ma poitrine et ma robe en cuir. Je me reprends, et lèche la couronne en déposant un baiser sur la haut du gland ! Derrrière, Claude gémit bruyamment, après quelques baisers et l’application de ma langue sur le sillon du gland entre le prépuce et la couronne je l’attire en bouche et reprend ma lente mais ferme fellation, cette fois bien décidée à aller jusqu’au bout !
La vision entrecoupée de Maria en train de lécher le sexe commence à me faire ériger… Je sens mon se gonflé sous ma robe en cuir malgré l’éjaculation récente… Sans cesser de pomper et de sucer je laisse glisser une main sous ma robe et commence à me masturber…
Les minutes s’égrènent et je maintiens mes mouvements d’aspiration, de pression au rythme des lents va et vient du gland entre mes lèvres. Le gland est de plus humide et ma bouche totalement remplie de salive et de présperme j’essaie de laisser couler une partie mais je me retrouve obligée à en avaler de bonnes quantités. Puis, j’entends Maria se redresser dans un froufrou de chemisier, mots étouffés échangés entre deux repsirations, de plus en plus rauque, bruit d’un échange de baisers que l’on devine langoureux et enfin, j’entends le martellement caractéristique des talons de Maria s’éloigner de mon côté pour finir par se rapprocher d’un autre côté…
Je ferme les yeux continuant à sucer et à me caresser... Le sexe tendu et humide sous la robe en cuir, je devine qu’elle doit être tachée à l’endroit où mon gland la frotte, cette sensation me réjouit.
Quelques secondes plus tard Maria est debout devant moi, elle me regarde en train de sucer et de toucher mon sexe sous la robe… Elle me sourit, comme satisfaite de la taille du gland que j’ai entre les lèvre et amusée par la bosse qui gonfle de manière de plus en plus visible sous la robe…
- Tu suces très bien me dit-elle, je la remercie du regard, puis je retire mes lèvres du gland et tire la langue pour laisser couler la salive et le présperme sur mon menton et le haut de la robe au niveau de la poitrine.
Maria se mord la lèvre, me sourit et me caresse les cheveux ! Je lui rends son sourire.
- Tu veux que l’on partage ?
- Non Laetitia, juste te regarder, je crois qu’il ne va plus tarder
- Non, en effet, approche ma belle, mets toi à l’aise pour voir au mieux, j’espère que ce que tu verras va te plaire !
Elle sourit et d’un geste souple monte lentement le pied pour poser ses orteils nus aux ongles rougis juste sous le gland à quelques millimètre de ma bouche. Je souris à cette invitation, et reprend le sexe en bouche pour le pomper fermement en prenant soin de caresser du bout de la langues les orteils aux ongles vernis qui se tortilles sous la croûte de cuir… Maria, frémit amusée, puis avec une lueur de défiance, elle repose son talon au sol et glisse une main dans son shorty et commence à se doigter à quelques centimètre de mon visage. Mon regard est fixé dans le sien alors que la hampe et le gland turgescent me lime la bouche, sans cesser de branler et d’aspirer, je pose une main sur son shorty et l’aide à le déboutonner… Il tombe sur ses cuisses, et je l’aide à ses caresser lui offrant mes doigts… Elle gémit, se penche sur moi sans me quitter des yeux, glisse une main sous ma robe pour commencer à me branler…
- Oh me dit-elle avec une moue d’étonnement, mais suffisamment fort pour que Claude puisse l’entendre, je vois que tu serais prête à repartir et à me jouir à nouveau dans la bouche ?
Je parviens à dire « hmmmm hmmm » entre deux aller retour du gland puis brusquement, je sens le sexe se figer entre mes lèvres et sens le gland entrer en fibrillation sur ma langue, j’ai à peine le temps de reculer et d’ouvrir la bouche qu’un violent jet de sperme m’emplit la bouche complètement… J’écarquille les yeux de surprises et manque de m’étrangler, heureusement j’ai le réflexe d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue, je maintien le gland d’une main et laisse le second et le troisième jet ma frapper sur la langue déjà tendue, elle même.
Je n’ai qu’a laisser faire et je sens le sperme tiède couler abondamment sur mon menton, une partie tombe directement sur ma robe la maculant à hauteur des seins. Je regarde Maria un peu incrédule et on pouffe de rire toutes les deux comme deux gamines !
- Woaw, dis-je c’était intense, je souris et continue à branler doucement le sexe
Maria me sourit, pose une main sur le sexe hors de la cloison et l’approche délicatement de ma bouche, je lui sourit comprenant ce qu’elle attend.
J’embrasse le bout du gland et le prend en bouche pour aspirer les dernières grosses goutte de sperme…
Je pose une main sur la cuisse de Maria et l’attire doucement vers moi ! Elle se penche et j’en profite pour l’embrasser la bouche encore à moitié remplie de semence tiède.
Nous échangeons un long baiser langoureux, mon sexe terriblement gonflé. Puis sans l’ombre d’une hésitation Maria, se redresse et pose un pied sur le rebord du lit et de la manière la plus naturelle du monde, approche ses lèvres humides de cyprine de ma bouche… Je souris, très excitée à l’idée de la goûter pleinement et je pose mes lèvres rougies sur ses lèvres humides glissant ma langue dans son vagin léchant et aspirant sa liqueur intime… Elle gémit, passe ses main autours de ma tête et entame un léger mouvement de hanche du bas vers le haut et du haut vers le bas. J’enroule la langue autours de son clito humide, enserrant ses cuisse entre mes mains, l’accompagnant dans le mouvement.
Elle gémit de plus en plus fort se laissant pleinement aux caresses de ma langue, puis doucement, je glisse une main entre ses cuisses… insérant deux doigts dans son minou humide, je la lime rapidement sans cesser de lécher… Après quelques secondes, elle se fige, ses jambes se tortilles dans ses talons, et dans un gémissement à la limite de la pleur elle abandonne un violent jet de cyprine sur ma langue et mes lèvres achevant ainsi mon maquillage...