par fatman » Jeu 18 Nov 2021 16:48
Une heure entière qu'une vingtaine de gaillards viennent se répandre sur elle, et la Soumise continue d'en vouloir davantage ! Rien, absolument rien ne peut arriver à réfréner sa lubricité..
La cave ne semble guère vétuste, il ne doit vraisemblablement pas y avoir de traces de remugles. Sauf qu'au bout d'une heure d'intense activité physique par un tel groupe de personnes, on devrait percevoir une odeur de sudation, de gymnase, de fauve, et de vieilles chaussettes. Inutile de mentionner que S157 est recouverte d'une quantité plus qu'appréciable d'une substance collante et odorante ( au fumet aisément identifiable, qui plus est).
A titre comparatif, je serais assez tenté de mentionner les applaudissements spontanés des participants lors de l'aventure organisée au cinéma du magasin "hot store". On peut utiliser un tel procédé à la fois pour manifester son admiration (et au vu de ce qu'Amber venait d'accomplir, il y avait de quoi être admiratif) comme sa gratitude (et au vu de la bonne volonté plus que manifeste d'Amber afin de satisfaire pleinement la totalité des personnes présentes, cela méritait bien des remerciements). Mais ici, on a terminé, alors on s'en va. On ne va quand même pas faire l'aumône d'un regard à un kleenex qu'on vient de jeter par terre après usage.
Le deuxième cliché est très représentatif : Amber qui va jusqu'à sortir sa langue de sa bouche pour venir lécher les doigts de son assaillant, à la recherche de la précieuse semence; alors que simultanément cette même substance lui dégouline littéralement de tout le corps, à un point tel qu'elle l'étale avec une main pour ne pas en perdre une once. Au passage, c'est peut-être une capacité innée, ou peut-être s'agit-il d'un talent acquis à force d'énormément de pratique, mais cette charmante petite langue semble devoir s'avérer d'une agilité diabolique lorsque sa propriétaire le souhaite.
Quant au dernier cliché (encore une fois, la polychromie est excellente, en particulier avec cet angle de prise de vue), il résume bien à lui tout seul la scène décrite par Master M : un assaillant d'Amber qui s'en va, sans même se retourner, d'autres qui regardent, ou qui vont probablement profiter d'un deuxième passage...et au milieu, trônant tel le piano de cette perverse symphonie dédiée toute entière à la dépravation, Amber/S157, couverte de sécrétions. L'humiliation dans toute sa splendeur.
Merci pour le partage.