de cocufieur à candauilste, voire cuckold

[monptiluc]

Bonjour,
c'est intéressant de chercher dans sa mémoire les expériences vécues qui peuvent nous amener au candaulisme.

Pour ma part, je crois que ça remonte à l'époque où j'avais 18 ans. Quelques expériences à mon actif, sûr de tout connaître, mais en fait, terriblement naïf et banal.
C'est alors que je rencontrais une fille de mon âge, pimpante et séduisante, un canon. Mais en couple. Son copain partant faire ses études très loin de nous, je ne tardais pas à me retrouver dans son lit (à elle, hein...) et même à emménager avec elle la semaine, nous séparant uniquement le week-end.
Afin de protéger notre secret, je me retrouvais très souvent, officiellement en tant qu'ami, à la regarder se faire draguer par des inconnus dans la rue, par des vendeurs, par des jeunes, des vieux, des très vieux, des ex à elles... Et de la voir, elle, visiblement ravie, jouant la séduction devant moi.

Cette fille ayant eu des expériences bien plus variées que moi prit vite un ascendant sur moi question sexe et fantasmes. Elle restait cependant très pudique sur son corps, mais uniquement vis-à-vis de moi. Le regard des autres ne la dérangeait pas car (selon elle) elle ne les re-croiserait jamais et donc s'en foutait.
Ainsi, moi qui avais du mal à la voir se livrer nue hors du sexe, il m'est arrivé quelques fois de la voir se mettre en soutien-gorge en plein rayon de H&M ou des Galleries pour essayer des vêtements sans perdre de temps. Cela me mettait chaque fois mal à l'aise pendant quelques secondes avant de m'exciter en constatant le regard plus ou moins discret des hommes (qui avaient souvent l'âge de son père) sur elle.

Il y eut également 4 faits marquants qui me semblent importants aujourd'hui vers le candaulisme.

Il y eut d'abord un soir, alors que nous nous chauffions, elle me lâcha :
- Au fait, ce week-end, il y a un mec qui m'a contacté sur Skype. Apparemment, il se faisait chier, alors il a appelé un numéro au hasard. Comme j'attendais ton appel, j'ai discuté avec lui un peu, histoire de tuer le temps.

Intrigué et franchement jaloux, je la questionnais, mais elle me répondit qu'ils n'avaient parlé de rien de particulier. Et puis il avait 2 ou 3 ans de moins que nous, qu'il était du genre sportif bourrin, rien à craindre. Puis, continuant de bien me chauffer, elle me dit petit à petit qu'il avait amené la conversation sur le sexe, les fantasmes. Elle m'avoua qu'elle avait répondu à ses questions honnêtement, qu'elle lui avait raconté ce qu'elle aimait et qu'elle lui avait même révélé certains fantasmes que j'étais alors seul à connaître.
Je lui demandais si ça l'avait excité et elle me répondit coquine :
- un peu...
Je lui fis remarquer que ce mec devait juste chercher du cul. Elle ne me répondit pas immédiatement, mais voyant que j'étais bien trop excité par ce que nous faisions pour m'énerver, elle dit enfin :
- Oui, je me doute bien. En fait, avec le casque, j'ai bien compris qu'il était en train de se branler en me parlant.
Nous nous sommes jetés l'un sur l'autre.

Après coup, c'est devenu un jeu entre nous et elle me prévenait quand il la contactait le week-end. Elle me disait qu'elle adorait l'idée d'exciter un mec au téléphone et de raconter sa sexualité et ses fantasmes les plus osés à un inconnu. Rapidement, elle m'apprit qu'il mettait sa cam, mais elle m'assura qu'elle ne le faisait pas (et j'y croyais...). Un jour, alors que j'étais en retard pour un train, son skype sonna, je vis que c'était lui. Elle décrocha et je vis apparaître son torse musclé à l'écran. Le mec était déjà torse nu (et peut-être le reste aussi) ! Elle lui dit alors :
- Attends deux secondes, mon amant est en train de partir. Je lui dis au revoir et j'arrive.
Mon trajet jusqu'à la gare se fit dans un état second et mon voyage en train pire encore. Je me masturbais dans les toilettes, puis encore plusieurs fois dans la soirée.

Pendant ce temps, nous avions aussi commencé à nous exciter sur des sites de rencontre. Cela peut paraître bête, mais je me souviens encore du jour où nous avions créé un compte à ma copine en y ajoutant des photos d'elle, sans visage, mais nue. J'étais très excité en lisant les messages qui affluaient, tantôt charmeurs, tantôt drôle, souvent direct, voire très vulgaire. Des hommes pour certains vieux et moches, traitant ma copine de salope, vantant son corps et décrivant comment ils se proposaient de la défoncer... Mais ce fut surtout le fait de voir des photos de son corps si sexy, nue au yeux de centaines d'inconnus, de gens que nous croisions peut-être dans la rue qui me fit un effet terrible.

[monptiluc]

La seconde chose dont je me souvienne, en fait ce sont deux évènements qui se déroulèrent dans des magasins. De façon générale, Laure adorait s'exhiber et les magasins de vêtements étaient son exutoire.

Ce jour là, nous étions en plein week-end de soldes, les magasins étaient pleins et nous venions d'entrer dans une petite boutique assez chic où l'on se bousculait un peu, mais poliment. Évidemment, je ne me trouvais rien de bien et elle si ! Beaucoup de choses même. Dans le tas, une petite robe d'été à fleurs et un petit haut en mousseline blanche très léger et surtout très transparent.

Nous voilà donc partis pour une séance d'essayage. Dans le fond du magasin, trois petites cabines sont prises d'assaut et lorsque vient notre tour, nous nous rendons compte qu'il n'y a pas la place de rentrer à deux. L'idée de sortir s'exhiber à chaque nouveau vêtement essayé semblait plus exciter Laure qu'autre chose et elle prit son temps, à chaque tour, de me montrer tel ou tel détail sous le regard des clients en passant ou bien des hommes attendant leur compagne dans les cabines voisines. Les regards de moins en moins discrets de mes voisins mateurs me mettaient mal à l'aise, mais Laure était aux anges. Lorsqu'elle sortit de la cabine avec la petite robe d'été, tout le monde sembla approuver, certains hommes allant même jusqu'à lui faire une petite moue pour le lui faire comprendre. La robe était vraiment estivale, dos nue, descendant à mi-cuisses, avec un léger décolleté maintenu par deux fines bretelles. Laure, me voyant gêné, s'approcha de moi et me glissa :
- Elle me va bien ?
- Elle est superbe.
- Tu me trouves belle dedans ?
- Tu es magnifique (sobre, alors que dans ma tête ça ressemblait plutôt à "mais t'es trop bonne la-dedans !!!")
- Je t'excite ? avec un petit regard enflammant.
- ...
- J'ai envie de toi
Là, dans ma tête, c'est un joyeux bordel, un mélange de reste de gêne, d'excitation, de retenu, ça va trop vite pour moi. Profitant de mes quelques secondes d'absences, elle se regard dans une glace et me lance à voix haute :
- Par contre, avec le soutien-gorge, c'est pas terrible, attends...

En moins d'une minute, là voilà devant nous avec la même petite robe, mais tous les regards semblent s'accorder avec elle, c'est beaucoup mieux ainsi. Et elle, ravie, qui fait un petit tour sur elle même, soulevant dangereusement le bas de la robe qui me laisse entrapercevoir un minuscule bout de fesse, ainsi qu'à mes voisins. Les clients en face ont peut-être même pu voir un peu du tissu de son string. Mais dans l'immédiat, je m'en fous, son dos est nu et ses tétons pointent, tout le monde la matte et moi, j'ai envie de la sauter. Mais je me retiens.
- C'est beaucoup mieux, tu vois ?
En effet, je vois, nous voyons tous bien, oui...
Lorsqu'elle repart à la cabine, la déception doit pouvoir se lire sur mon visage. Mais la voilà très vite qui revient, robe retirée, jeans renfilé et petit haut de mousseline transparent, très transparent. Et rien dessous. Si, une paire de seins jeunes, ronds, droits et orgueilleux. Devant tout le monde.
On n'entraperçoit pas sa poitrine, non non, on la voit, totalement, depuis l'arrondi jusqu'aux petits tétons roses. Nous avons 18 ans, nous sommes dans un magasin bondé et ma copine s'exhibe les seins à l'air... C'est une sensation indescriptible qui me vient. Intense et unique. Je me souviens encore de ce sentiment. Me voilà relégué à mateur privilégié parmi les mateurs. Son corps ne m'appartient plus, elle le dévoile, le donne à qui elle veut. Et, en cet instant, tous ces hommes la possèdent, la pénètrent, de leurs regards. Elle prend son pied avec eux et moi, je n'en suis qu'un spectateur.
Cela dure ainsi une ou deux minutes (une éternité). Un mélange de souffrance et de plaisir intenses. Elle met fin à mes pensées (enfin pensées... à mon coma cérébral plutôt) :
- Alors ?
- C'est transparent, très transparent... Tout le monde voit tout.
Elle fixe mon regard, ne répond pas et fait un petit tour devant la glace, s'inspecte puis lance :
- Bah moi, je trouve qu'il me va super bien ! Tu me l'offres ?
Et elle s'engouffre dans sa cabine sans attendre ma réponse. Pendant ce temps, je sens les regards des hommes autour de moi, cette fois-ci dirigés sur moi, satisfaits de ce qu'ils ont vu, envieux et en même temps un air de vainqueur face au vaincu dans leurs sourires. Je me sens fier, mais humilié également. Et ça ne fait que renforcer mon excitation.

Lorsque Laure sort de sa cabine, une dizaines de regards nous suivent jusqu'aux caisses. Une fois dehors, je lui fais remarquer ce qui vient de se passer et elle me répond qu'elle a adoré, qu'elle avait senti sa chatte mouiller à l'idée de sortir comme ça alors elle l'avait fait. Et elle ajoute :
- Bon, sinon, ne t'inquiète pas, j'ai remis mon soutien-gorge.
- ...
Elle me fait un grand sourire, puis :
- Par contre, je n'ai pas remis mon string. Je l'avais retiré en même temps que mon soutien-gorge lorsque j'essayais la robe.
Je réalise alors qu'elle est en ce moment même nue sous son jeans. Puis, une autre vérité me percute. Lorsqu'elle est sortie avec sa robe sans rien dessous, au moment où j'ai pu entrapercevoir ses fesses, ce n'est pas le devant de son string que tout le monde a du voir...

[monptiluc]

L'autre évènement que je rattache dans mes souvenirs à celui des soldes, s'est également déroulé dans un petit magasin. Ce n'était ni le même jour ni le même magasin.

Cette fois-ci donc, nous étions dans une toute petite boutique qui vendait des vêtements d'Amérique du Sud et d'Asie. Le genre de boutiques comme on en voit souvent, avec des draperies colorées partout et une odeur permanente d'encens. Ce jour-là, lorsque nous sommes arrivés, le magasin était vide. Seul le patron était derrière son comptoir. Il nous envoya un bonjour jovial et nous proposa de venir le voir si besoin. C'était un homme d'une bonne cinquantaine, les cheveux gris, le genre ancien soixante-huitard, bonne bedaine, chemise en lin très longue ouverte jusqu'au ventre, laissant bien voir son torse poilu, pantalon en tissu et espadrille.

C'est donc tranquillement que nous avons pu faire nos emplettes. Une longue jupe rouge en tissu épais a vite attiré notre attention et Laure est partie l'essayer sous le regard du patron qui nous a lancé un "très bon choix !". J'attendais devant le semblant de cabine (un placard à balais avec un miroir au fond et un rideau, au fond du magasin, c'est-à-dire à 5 mètres du comptoir...). Laure ouvrit le rideau, la jupe enfilée qui semblait lui aller à merveille, bien que jurant un peu avec son cache-cœur noir. Mais elle me fit immédiatement remarquer qu'elle était trop large au niveau de la ceinture et que si elle la lâchait, elle glissait. En effet, elle écarta les bras et la jupe se mit à glisser de quelques centimètres dévoilant le haut de son string.

Le patron qui n'en avait pas raté une miette décida d'intervenir et nous proposa de voir ça. Ce qu'il fit sans attendre notre réponse. Il se mit alors devant Laure, entre elle et moi et commença à regarder la jupe de façon très professionnel.
- Oui, c'est juste au niveau de la ceinture. Au niveau de la longueur c'est bon et le rebondi des fesses est parfait.

Laure et moi nous regardâmes surpris par cette dernière réflexion, mais bon...
Il nous expliqua alors que ce n'était pas très grave, juste un petit point de couture à faire, ça irait très vite. Il demanda à Laure de ne pas bouger et de lever les bras. Il lâcha alors la jupe qui ne manqua pas de glisser à nouveau, mais un peu plus bas cette fois-ci, presque à mi-fesse. Il la laissa ainsi quelques instants, prenant le temps de regarder le devant et le derrière, semblant songeur. De mon côté, je commençais à me demander si c'était bien la jupe qui le laissait songeur. En croisant le regard de Laure dans le miroir, je la vit me faire un grand sourire. Visiblement, elle se posait la même question, mais le jeu lui plaisait.

Il lança alors :
- Ah oui, c'est sûr, vous n'allez pas pouvoir sortir comme ça.
et ajouta
- Encore qu'avec cette mode des jeunes avec leurs pantalons qui tombent, on y voit la moitié des fesses. Ce serait bien la première fois que j' y retrouverais rien à redire...

Puis reprenant son air concentré, il releva la jupe correctement. Gêné par le bas du cache-cœur, il demanda à "la p'tite demoiselle" si elle voulait bien le soulever un peu pour lui dégager la vue. Ce qu'elle fit, en me regardant toujours dans le miroir, avec un certain zèle même, remontant le devant jusque sous sa poitrine, dévoilant son ventre. L'homme la regarda s'exécuter, puis comme le dos restait couvert, il glissa sa main dessous, collée contre la peau de Laure et le releva presque jusqu'aux épaules, dévoilant l'arrière du soutien-gorge. Cela eu également pour effet de défaire le nœud du petit haut qui commença à bailler par devant.
- Ah, c'est sûr que si vous y mettez pas du votre...
Ma copine attrapa son cache-cœur complètement débraillé et le tira bien fort en avant sous sa poitrine. Dans le miroir, on pouvait désormais voir toute la ligne central sous la gorge de son décolleté et de son soutien-gorge. Je savais que Laure s'amusait de ce jeu et je vis à son regard qu'elle aurait bien dégagé un peu plus encore la vue sur ses seins, mais elle n'osa pas. Sûrement parce que le vieux bonhomme n'arrêtait pas de la regarder dans la glace...

Le problème de la "visibilité" résolu, le patron commença à trifouiller la ceinture de la jupe en marmonnant, puis semblant chercher le bon angle d'attaque, il se mit à tirer dessus en faisant le tour. Visiblement insatisfait, il attrapa alors la ceinture, se retrouvant avec ses phalanges glissées contre les hanches de Laure. Il refit alors son tour de taille, lentement, passant sur les fesses, puis devant. J'étais très excité de voir ainsi sa main à moitié sous la jupe, sachant ses doigts collés contre la peau de Laure, sur ses fesses et maintenant sur son pubis, protégé d'un simple bout de tissu. J'imaginais qu'il devait sentir la chaleur sous ses doigts et les poils qui ne manquaient pas de passer à travers la fine étoffe.

Je voyais Laure qui me regardait toujours, gardant une expression neutre mais avec un regard de braises.
Le patron prit alors une aiguille, pinça le tissu des deux côtés et se releva. Il inspecta son travail, puis d'un air satisfait :
- c'est bon, ça devrait aller comme ça. Je vous fais le point de couture immédiatement, ça prendra deux secondes.

Il demanda à Laure de se tenir bien droit pour ne pas perdre les marques, puis sans prévenir, il ouvrit la fermeture et lentement, fit glisser la jupe au sol. Laure était là, debout, immobile, les seins déjà à moitié à l'air, en string, les fesses nues. Je vis dans ses yeux que la surprise venait d'être remplacée par une excitation qu'elle cachait tant bien que mal. Quant à moi, je bandais complètement et j'en arrivais même à espérer que le marchand trouve un bon prétexte pour lui demander de retirer le reste. Depuis le comptoir où il s'était mis à l’œuvre, le vieux mateur n'en ratait pas une miette.
Reprenant conscience du lieu, Laure commença à attraper son jeans pour se couvrir, mais fut interrompu :
- Vous embêtez pas, c'est presque fini.
Inutile de lui dire deux fois, Laure reposa immédiatement son pantalon. Plutôt que de s'assoir, elle commença à se regarder dans la glace, faisant des tours sur elle-même, se mettant sur la pointe des pieds, ouvrant son cache-cœur pour faire mine de repositionner son soutien-gorge. Puis, comme le "presque fini" semblait durer un peu plus, elle sortit de la cabine et commença à regarder à nouveau les rayons de vêtements. Nous ne nous étions toujours pas parlé l'un à l'autre depuis tout à l'heure. Le commerçant ne semblait pas non plus vouloir se presser, visiblement ravi de la situation. Laure l'interpela alors :
- Excusez-moi, vous ne faîtes pas de sous-vêtements ?
Ma tête explosa. Elle avait trouver le moyen de finir à poils. Mais vite déçu.
- Hé non ma p'tit demoiselle. Mais faudrait peut-être que je m'y mette, ça rapporte bien apparemment. Mais ça ne collerait pas trop avec le reste.

Quelques instants plus tard, il nous informa que c'était prêt. Laure retourna à la cabine enfiler enfin sa jupe qui lui allait à merveille. Le patron, professionnel jusqu'au bout, prit tout de même quelques secondes pour inspecter les fesses et les hanches. Il passa deux-trois petits coups de mains sur les fesses de Laure, comme pour retirer un pli imaginaire. Puis en marmonnant des "bien, oui, bien", il mit carrément sa main gauche sur ses fesses et imprima une pression ferme afin de la faire tourner de profil à la glace. Toujours la main gauche sur les fesses de Laure, il glissa alors sa main droite sur le devant de la ceinture puis la fit descendre jusque devant son pubis. Il fit mine de regarder la taille de la jupe, mais n'importe qui entrant à ce moment là aurait vu un vieux bonhomme en train d'essayer de doigter la chatte et le cul d'une jeune femme devant son copain. Il demeura ainsi quelques instants faisant légèrement onduler ses mains. Puis, tandis qu'il cherchait sûrement le regard de cette jeune coquine qui se laissait faire, sentant arriver le point où il allait la sauter sur place, c'est sur mes yeux qu'il tomba dans la glace. En un instant, son visage se referma. Il se redressa et reprenant un air professionnel.
- Voilà, c'est parfait.

Il retourna alors à son comptoir. L'ambiance étant brisée. Laure se rhabilla rapidement tandis que je payais et nous sommes partis. Il nous dit juste :
- Revenez quand vous voulez.
Mais nous n'y sommes jamais retournés...

[slave4you]

Pas mal ces récits ! Des nouveaux depuis ?

[myl3n3]

super soft, mais tres exitant.
J'adore

[soumissionperverse]

Très excitantes ces histoires !

[bleach]

Superbe ! Très bien écrit en tout cas !

[Zey5754]

Très agréable à lire.

[sentimentscaches]

tres excitant comme recit
mmmmmm