par fatman » Lun 8 Nov 2021 17:13
Il serait sans doute assez hasardeux de ma part de venir invoquer le fait de travailler en équipe; mais il n'en reste pas moins indéniable que lorsque le premier tour operator fait sa remise de prix d'une façon aussi spontanée, ses collègues ne vont plus résister guère longtemps à la tentation (plus que montante) d'en faire autant. On pourrait comparer cela à une partie de chasse : dès que le premier défouraille, les autres ne pensent plus aux aussi qu'à pouvoir brûler leur cartouche.
Au tour du deuxième gaillard, donc. Impossible de préciser s'il est plus pressé ou plus frileux (auquel cas il devrait prendre exemple sur Amber, qui n'hésite jamais à prouver que si la température extérieure peut laisser à désirer, sa température à elle la laisse plus que désirable), toujours est-il qu'il n'a pas jugé opportun d'enlever sa tenue de travail pour la remplacer par sa tenue d'Adam. Si l'on considère que les heures de bureaux doivent vraisemblablement être dépassées, je me demande s'ils iront jusqu'à facturer des heures supplémentaires ?
Sur le premier cliché, on constatera l'absence du moindre cache électronique ( qui sont parfaitement justifiables à mes yeux, comme je l'ai déjà affirmé dans la série précédente qui comportait également une photo dépourvue de cache). Ceci renforce encore davantage l'impression de moment saisi sur le vif, dans l'instant, dans toute sa crudité.
Au passage, maintenir la tête d'Amber dans sa main ne doit constituer qu'une pure gourmandise : il est plus qu'évidence que la Soumise n'a pas la moindre envie de partir avant la fin. Son désir de faire la démonstration de ses qualités à son Maître en est la preuve.
En parlant de preuve, le deuxième cliché démontre de façon éclatante la rapidité avec laquelle Master M a réalisé sa photo : il ne s'agit pas d'une pose que l'on peut garder fort longtemps, c'est le moins que l'on puisse dire ! Impossible pour moi de ne pas évoquer la grande période des magazines licencieux que l'on pouvait dénicher dans certaines officines spécialisées vers les années 1970. Même s'il s'agissait d'acteurs professionnels, il était plutôt malaisé pour le photographe de dire "raté, on va la refaire !". Ou alors, il fallait attendre un peu, quand même. Bien que la qualité de ces magazines restait fort inégale, ceux-ci n'en étaient pas moins précieux aux yeux de l'acheteur. Pas seulement à cause de leur prix de vente, mais surtout de leur rareté.
Sur le dernier cliché, Amber semble incapable de résister à la tentation de jouer avec ce petit cadeau qu'on vient de lui offrir. Je ne puis qu'essayer d'imaginer l'expression de son visage, que j'espère extatique; mais je reste persuadé qu'il doit y avoir une petite flamme qui brille dans ses yeux : la flamme de la Soumise qui vient de montrer à son Maître qu'elle a relevé le défi, de façon toute aussi brillante.
Merci pour le partage.